Il y a vingt ans, les infrastructures on-premise étaient la norme. Le recours aux certificats était très limité et la durée de vie de ces rares certificats était une fraction de ce qu’elle est désormais. En conséquence, les entreprises ont multiplié les solutions PKI disparates délivrant de plus en plus de certificats aux utilisateurs finaux, aux applications internes, aux sous-traitants tiers, aux postes de travail, aux serveurs, aux mobiles, aux machines virtuelles, aux micro-services, etc.
Aujourd’hui, les entreprises transfèrent une partie (ou la totalité) de leur infrastructure vers le cloud et doivent s’appuyer sur des PKI on-premise pour pouvoir délivrer des certificats aux ressources basées sur le cloud. Ce n’est pas encore tout à fait optimal. En effet, si en l’état actuel une PKI ne peut pas mettre l’entreprise en péril, elle reste un rouage important de l’organisation générale. Dans ce contexte, quelles sont les raisons qui doivent pousser les entreprises à moderniser leurs infrastructures PKI et les étendre à des usages plus innovants et agiles ?